Ce matin, dans le cadre de son assemblée générale annuelle, INO a présenté le bilan de son exercice 2022-2023. Et les résultats, qui semblent confirmer que l’innovation a repris sa juste place dans les priorités des entreprises, ont été à la hauteur des attentes.
À cet effet, l’organisation a réalisé, pour une deuxième année consécutive, un record de commandes. Après avoir franchi pour la première fois la barre des 20 M$ en 2021-2022, les commandes ont effectué un bond de plus de 20 % pour s’établir à 25,4 M$.
De leur côté, les revenus d’opérations ont bondi de 18 % pour atteindre 50,2 M$, un record dans les 35 premières années d’existence de INO. De son côté, le nombre de membres, grâce à une formule de membership renouvelée, a doublé. Cette étroite collaboration avec les milieux industriels permet donc notamment à INO d’encore mieux orienter ses travaux de développement technologique en fonction des besoins de l’Industrie.
Plus marquante encore, la contribution de INO au produit intérieur brut canadien, études indépendantes à l’appui, atteint maintenant près de 640 M$ par année.
Pour sa part, Quantino, l’incubateur propulsé par INO, a accueilli huit nouvelles jeunes entreprises technologiques œuvrant dans une grande diversité de domaines. Des démarches d’agrandissement ou de création d’un espace satellite consacré aux technologies médicales sont d'ailleurs en cours.
Pour Alain Chandonnet, président-directeur général de INO, « les résultats le prouvent, INO a su développer une culture d’innovation orientée vers les clients et les marchés, ce qui en fait plus que jamais une force de développement économique dont la finalité n’est pas la R-D en soit, bien qu’elle en soit le moteur, mais bien la valeur commerciale et sociétale créée chez ses clients et partenaires ».