Téléchargez la note d’application et accédez aux données techniques complètes, mesures expérimentales et performances détaillées des détecteurs ultra-large bande de INO.
Les observations dans le lointain infrarouge (FIR, 15–1000 µm) sont essentielles pour mesurer le bilan radiatif terrestre, caractériser les minces nuages de glace, analyser les aérosols et interpréter les signatures thermiques des surfaces planétaires. INO propose des détecteurs ultra-large bande basés sur une technologie d’absorption en or noir, offrant une sensibilité exceptionnelle du FIR au térahertz. Cette note d’application présente :
Téléchargez la note d’application pour accéder aux détails techniques, études de cas et performances complètes.
Le lointain infrarouge (15 à 1000 µm) est une région spectrale essentielle pour comprendre les échanges radiatifs, caractériser les nuages de glace, analyser les aérosols, cartographier les minéraux planétaires ou mesurer l’inertie thermique des surfaces lunaires.
Mais accéder à ce spectre demande des détecteurs hautement sensibles, robustes et capables d’opérer dans des environnements extrêmes.
Le FIR complète les données infrarouges traditionnelles en offrant une sensibilité unique aux processus radiatifs, aux transitions de phase de la glace et aux signatures thermiques de surface.
Dans la note d’application, vous découvrirez comment ces mesures :
La note d’application fournit une analyse technique détaillée des détecteurs aujourd’hui utilisés :
Vous saurez quelle technologie convient le mieux à chaque type de mission et pourquoi.
INO développe depuis plus de 35 ans des microbolomètres large bande utilisant l’or noir (gold black) qui offrent :
Comment la technologie de INO permet une détection ultralarge bande unique au monde.
![]()
Qu’est-ce que le lointain infrarouge (FIR) ?
Le FIR couvre les longueurs d’onde de 15 à 1000 µm et permet d’observer les flux thermiques, les nuages de glace, les aérosols et les signatures minéralogiques des surfaces planétaires.
Pourquoi le FIR est-il difficile à observer ?
Parce que la vapeur d’eau et le CO₂ absorbent fortement ce rayonnement, nécessitant des plateformes spatiales, stratosphériques ou de haute altitude.
Quels types de détecteurs sont utilisés dans le FIR ?
Thermopiles, bolomètres cryogéniques et microbolomètres non refroidis, chacun optimisé pour des besoins de mission distincts.
Qu’est-ce qui rend les détecteurs de INO uniques ?
Leur absorbeur en or noir qui assure une réponse spectrale ultra-large bande, de l’UV au FIR jusqu’au térahertz, avec une grande sensibilité.
Dans quelles missions les détecteurs INO sont-ils utilisés ?
On retrouve des détecteurs INO à bord d’EarthCARE, de la mission Lunar Trailblazer, TICFIRE et plusieurs instruments FIR/LWIR de missions passées et à venir.
Téléchargez la note d’application et accédez aux données techniques complètes, mesures expérimentales et performances détaillées de nos détecteurs ultra-large bande.